Voiture autonome : l’occasion de tester des positions du Kamasutra
Personne n’y avait pensé. Un Canadien l’a fait pour nous en soulevant une grande question : la voiture autonome ne risque-t-elle pas de nous mener à plus de batifolages ? Jusqu’à présent, on s’inquiétait surtout de l’ennui et du manque de plaisir en se retrouvant au volant d’un véhicule qui conduit tout seul. Bonne nouvelle finalement : nous aurons bien plus de plaisirs ! Puisque nous n’aurons rien à faire, nous pourrons passer à des distractions d’ordre charnel… La voiture transformée en lupanar ! Il fallait y songer. Notre expert canadien, lui, ne voit pas cela d’un très bon oeil. Il envisage plutôt le mauvais côté de la chose : « Je prédis que, une fois que les ordinateurs conduiront, il y aura bien plus de sexe en voiture. C’est une activité, parmi plusieurs que les gens pratiqueront, qui inhibera leur capacité à réagir rapidement quand l’ordinateur leur dira : « Reprenez le contrôle » », explique Barrie Kirk, co-fondateur et directeur du Canadian Automated Vehicles Centre of Excellence, à l’agence de presse The Canadian Press.
La voiture autonome au secours de la démographie
Notre rabat joie pointe du doigt le mauvais côté de la chose : en étant sages comme des images, les automobilistes mettent déjà 17 secondes pour reprendre les commandes de leur voiture autonome (d’après des tests). Soit 500 mètres sur une autoroute. Alors imaginez le temps qu’il nous faudrait pour nous défaire de la position numéro 69 du Kamasutra ! La question de la vigilance est donc posée.
Décidément, plaisir ne rimera jamais avec voiture autonome.